Reflexes archaïques et mouvements de balancement rythmiques

Les mouvements de balancement rythmiques sont les glissements du fœtus dans le liquide amniotique. Ces premiers mouvements du fœtus perçus in utero sont passifs et ils vont influencer les toutes premières connexions neuronales. Le liquide amniotique va amortir les relations mère-fœtus parfois inexistantes au début de la gestation.

Le processus de connexion, de branchement nerveux et de myélinisation des cellules nerveuses se met en place par ces mouvements internes (différentiation cellulaire) et externes (les mouvements du liquide amniotique via les mouvements de la mère) et la combinaison des deux (les réflexes archaïques). C’est le développement correct de ce processus de genèse du mouvement qui déterminera le fonctionnement moteur d’abord, et qui favorisera ensuite le développement et le branchement corrects des différentes parties du cerveau entre elles et avec le corps et les organes. Avec un bon tonus musculaire l’enfant va bouger correctement et sans effort et tous les systèmes du corps en bénéficieront, déterminant ainsi les capacités d’apprentissage futurs. Dans le cas contraire cela lui demandera effort et contrôle.

La stimulation correcte de ces mouvements envoie des signaux aux organes des sens, du toucher et de l’équilibre et progressivement le tronc cérébral régulera la tonicité musculaire. Puis les mouvements deviendront plus précis et mieux adaptés, et le tronc cérébral éveillera le néocortex, ce qui aidera le développement de l’attention, de l’organisation et de la communication. L’apprentissage n’est plus effort et contrôle, mais plaisir et découverte, gages d’un apprentissage pérenne.

 

Les 4 accords toltèques

Que votre parole soit juste – Que votre parole soit impeccable;

Quoiqu’il arrive, n’en faites jamais une affaire personnelle;

Ne faites aucune supposition. Arrêtez le mental et mettez-vous en cohérence avec votre ressenti;

Faites toujours de votre mieux.

 

Les 3 étapes pour grandir

Reconnaitre l’information ressentie, rester ouvert à cette information même si elle parait peu probable à mon mental

Accepter ses limites. Cela nécessite soit d’abaisser l’orgueil, soit de sortir de la culpabilité ou de la victime.

Dépasser se fait tout seul si les 2 étapes précédentes ont été acceptées sans conditions, sans « mais… », avec le cœur

Cela signifie que la reconnaissance du problème et son acceptation vont faire jaillir de l’inconscient des comportements plus justes.